Remède au chagrin d’amour et la COVID
Beaucoup de filles, et peut-être de garçons, ont connu un gros chagrin d’amour avant ou pendant la crise sanitaire, mais il paraît que le chocolat aide à oublier. Alors le chocolat serait-il devenu le meilleur ami des filles pour surmonter leurs peines de cœur et/ou la solitude provoquée par la crise sanitaire ? Ma réponse est OUI. Un carré, et parfois un peu plus, ou un bon chocolat chaud devant un film, et le tour est joué.
Noël, la cure
Qui n’a jamais mangé de chocolat à Noël ? Les fêtes de fin d’année sont bien connues pour la profusion des boîtes de chocolat, de plus ou moins bonne qualité, et que l’on ne sait plus où ranger. Mais le plaisir du « moi » en décembre, c’est que ,chaque jour, le calendrier de l’avent me rappelle que Noël approche. Le plaisir du « moi » en décembre c’est que, chaque jour, j’ai hâte de déguster les meilleurs chocolats cachés dans les cases qu’il renferme. Il ne s’agit pas d’en oublier pour autant Pâques, et ses douceurs qui viendront parsemer nos jardins.
Il nous fait craquer, parfois en cachette
Noir, blanc, au lait ou aux amandes, le chocolat nous fait tous craquer ! Il apporte un peu de douceur à notre palais et nous réconforte. Tout le monde a une tablette de chocolat dans un placard, la « cachette à bonheur » ! Par ailleurs, beaucoup d’entre nous craquent après le repas, à 4 heures… ou en fin de soirée pour cette douceur.
D’où vient-il ?
Le chocolat se fabrique à partir des fèves de cacao : à l’origine, les cacaoyers étaient produits par les Aztèques et les Mayas. Ils consommaient le cacao en boisson chaude épicée, le « Tchocoatl ». Puis, Hernan Cortez ramène les précieuses fèves en Espagne dès 1528, où celles-ci ne font pas immédiatement l’unanimité. Par la suite, les ingrédients composant la boisson chaude ont été modifiés par des saveurs plus douces. Ce fut un grand succès, et, depuis, le chocolat a été adopté en Occident, décliné sous de nombreuse formes.
Il y en a pour tous les goûts
Le chocolat est connu de tous, sous ses goûts classiques : noir, blanc, au lait. Mais nous trouvons d’autres compositions dans les supermarchés, ou, mieux, chez les chocolatiers, qui l’allient parfois à des saveurs surprenantes, tel le poivre ou le piment d’Espelette. Aujourd’hui, le chocolat se décline pour nous séduire, influencé par le marketing et l’industrialisation du marché.
Souvent, nous trouvons des indications de provenance sur les emballages : cela change-t-il le goût du chocolat ? Le cacao est produit à plusieurs endroits dans le monde, et la diversité de production a effectivement une incidence sur le goût du chocolat. La saveur des fèves de cacao diffère en fonction du sol de la culture, du climat et de la technique. Cet ensemble de facteurs apporte une diversité considérable dans le monde du chocolat. Exactement comme pour le vin, il y a des « terroirs » propices au chocolat.
En cuisine
Le chocolat peut se consommer du matin au soir, il peut s’inviter à tous nos repas. Dès le matin, beaucoup d’entre nous consomment du chocolat : dans du lait chaud, en céréales, ou encore dans la pâte à tartiner, on le consomme sous plusieurs formes pour assurer un début de journée chaleureux.
Le midi, après un bon repas, on peut aussi se laisser tenter par la douceur d’une crème ou d’une mousse au chocolat.
Puis vient le goûter, ce moment tant attendu par les petits, mais aussi par les grands ! Le chocolat y devient roi, et nous permet de préparer des petites merveilles à partager. Gâteau, fondant ou moelleux, marbré, brioche, cookies, les recettes sont nombreuses pour nous régaler au goûter !

Le chocolat se déguste seul ou accompagné, et s’il est conseillé, le soir, de favoriser les repas légers… il nous arrive de craquer (ou plutôt, croquer) !
« Craquant, fondant, il ne nous laisse pas indifférent.«
Pour finir en beauté et en douceur, une bonne fondue de chocolat avec des fruits frais sera parfaite. Optez pour du chocolat noir afin d’éviter trop de sucre, celui-ci se compense par le sucre naturel des fruits, prenez du chocolat au lait ou blanc si vous êtes gourmands.
Alors en cuisine pour faire de beaux gâteaux !
Étudiante en 2è année de Production, j'ai pu découvrir la production à travers la musique, la télévision et le cinéma.
Passionnée par ma formation, les différents projets auxquels j'ai pu participer m'ont conforté dans mon choix.